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PEPLVM - IMAGES DE L'ANTIQUITE,
dévoué au cinéma et à la BD historico-mythologiques.
Pour les cinéphiles puristes,
le «péplum» est un genre cinématographique
spécifiquement italien, qui n'a rien à voir avec
le cinéma américain à grand spectacle (dans
lequel cas on parle de «films épiques», toutes
époques historiques confondues).
Pour nous, est un «péplum» tout film italien,
américain ou biélo-slovaque traitant d'un épisode
de l'Antiquité - quel que soit son souci de sérieux
ou sa volonté de parodie.
Qu'il s'agisse d'un dessin animé de Walt Disney (Hercule)
ou d'un hardcore dénué d'imagination (The
Private Gladiator), d'un film «art et essais»
comme Les Jeunes Aphrodites de Nikos Koundouros ou d'une
fable politique à la Pasolini (Médée,
OEdipe-Roi...), d'une superproduction hollywoodienne comme
Ben Hur ou Cléopâtre ou des aventures
déjantées de Maciste (lesquelles, toujours, réveilleront
nos nostalgies d'enfant), ou encore un shakespearien Jules
César, façon Mankiewicz ou une trop rare merveille
du petit écran comme Rome, la série-culte
produite par H.B.O. ! Toutes ont notre faveur, parfois désabusée,
mais soit... Seule nous importe la vision d'un monde révolu,
naïve peut-être, inintéressante jamais. Nous
aimerions partager avec vous notre amour de l'Histoire Antique
dont nous sommes redevable à ce cinéma et à
ces bandes dessinées qui avaient connu leur heure de
gloire dans les fabuleuses Golden Sixties.
Les héros en étaient, alors, Charlton
Heston et Steve
Reeves, Gordon
Mitchell, Georges Marchal, Ettore Manni et Massimo Girotti,
Victor Mature ou Richard Burton, Kirk Douglas et d'autres encore...
Mais le péplum est aussi vieux que le cinématographe
lui-même, puisque dès 1896 les Frères Lumière,
à Lyon, produisirent un Néron essayant du poison
sur un esclave - tandis qu'à l'orée du troisième
millénaire on continue de reconstituer l'Antiquité
pour le grand comme pour le petit écran. Ce pour notre
plaisir à tous. Faut-il rappeler le succès de
Gladiator ?
Mythe fondateur
L'Antiquité est le mythe fondateur par excellence de
notre civilisation, comparable au western des Américains.
Les exploits de ses demi-dieux ont diverti les ados, tandis
que le martyre des chrétiens faisait pleurer dans les
chaumières ou édifiait Margot. Adulé des
nostalgiques, forain ou milliardaire, le cinéma historico-mythologique
est un cinéma de genre - sinon de «mauvais genre»,
selon certains. Mais il nous invite au voyage, à la rencontre
de ses grands et petits maîtres. Mankiewicz, Kubrick,
Wyler, Hawks et Mann, n'ont pas dédaigné s'y illustrer.
Et récemment encore, Ridley Scott. Mais Vittorio Cottafavi,
Riccardo Freda, Mario Bava, Antonio Margheriti, Antonio Leonviolà,
Domenico Paolella, Giacomo Gentilomo, Sergio Corbucci, Pietro
Francisci et Ray Harryhausen - sans oublier Sergio Leone - en
furent ses grands prêtres !
MICHEL ÉLOY
Historique
Le péplum est un genre cinématographique aussi
ancien que le cinématographe lui-même. Pour mémoire,
la première projection des Frères Lumières
dans une arrière-salle du Grand-Café à
Paris date de décembre 1895 (l'année où
Henryk Sienkiewicz publie son roman, Quo Vadis ?). L'année
suivante, Georges Hatot tourne pour eux Néron essayant
des poisons sur un esclave (51"), une «Vue historique
reconstituée» d'après une idée d'Alexandre
Promio. Le cinéma va rapidement nous proposer une vision
de l'Antiquité qui trouve ses racines dans la tragédie
classique (Shakespeare, Racine) et le théâtre lyrique
(l'opéra), mais aussi la peinture historique, la «peinture
officielle» du XIXe s. Ces «peintres pompiers»
ou «archéologues» participent à l'anticomanie
suscitée par les premières fouilles archéologiques
(Winkelmann à Pompéi, en 1784; Champollion et
l'Expédition d'Egypte, en 1798-1801). Leurs oeuvres inspireront
les premières vignettes du Dictionnaire Larousse, qui
les relaie ainsi auprès du grand public. Si les producteurs
de Gladiator revendiquent le Pollice Verso de
Gérôme comme principale source d'inspiration de
leur film, on sait moins, sans doute, que le premier péplum
connu - le précité Néron essayant des
poisons sur un esclave - était un tableau vivant
reconstituant une toile de Joseph-Noël Sylvestre (1847-1926),
Locuste essayant en présence de Néron le poison
préparé pour Britannicus. Premier prix au
Salon de Paris en 1876, cette toile connut une certaine renommée,
au point que le caricaturiste Cham la croqua en un irrévérencieux
Néron essayant du poil à gratter sur un esclave.
Il ne restait plus aux Frères Lumière qu'à
en faire une attraction de brasserie.
Les incunables. — La première
décennie du XXe s. voit bien évidemment les «films
à l'Antique» suivre le cinématographe dans
ses tâtonnements, sous la houlette de gens comme Méliès
ou Feuillade en France, et leurs émules italiens et américains.
Destinées aux attractions foraines, ces bandes, qui n'excèdent
pas quelques minutes (entre 1900 et 1910, la durée des
films évolue d'une minute à dix/quinze minutes),
sont axées - déjà - sur des effets spéciaux
rudimentaires : les miracles du Christ, des catastrophes tel
l'incendie de Rome ou la disparition de Pompéi, ou des
scènes tirées de la mythologie grecque, filmées
devant des toiles peintes comme au théâtre.
Le premier âge d'or (1913-1925).
— Dans les années '10, les durées s'allongent
et les techniques s'améliorent : Cabiria (G. Pastrone,
1913) dure trois heures, invente les décors en volume
et le carello (travelling); l'Américain D.W. Griffith
s'en inspirera pour concocter Intolérance (1916),
qui marque l'entrée en guerre des Etats-Unis dans le
premier conflit mondial. Si dans les années '10, en Italie,
le péplum est avant tout patriotique (Giulio Cesare,
Enrico Guazzoni, 1914), dans les années '20 il préfère
traiter de la décadence de l'Empire (Messaline,
E. Guazzoni, 1923). C'est légende de croire que le fascisme
(1922-1943), pourtant épris de cinéma - création
du Centro Sperimentale di Cinematografia en 1937, devenu depuis
Cinecittà -, aurait utilisé le péplum pour
affirmer sa romanité. Le fascisme diffusait son message
politique à travers les bandes d'actualités projetées
en complément. Au contraire, les péplums de l'époque
se révélaient fort critiques vis-à-vis
du régime (Nerone, Alessandro Blasetti, 1930 -
avec le comique Petrolini; Processo e morte di Socrate,
Corrado D'Errico, 1940). Un seul film «antique»
peut être crédité au service de la propagande
mussolinienne : Scipion l'Africain (Carmine Gallone,
1937), censé justifier les tentatives coloniales en Afrique.
A l'issue d'un voyage d'étude à Hollywood, auprès
du producteur Hal Roach, Vittorio Mussolini - le fils du Duce
- en fut le producteur exécutif. Mais le résultat
déçut. Benito ne se reconnut point dans cette
caricature de lui-même !
Cléopâtre (1917) : Theda
Bara
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Les années '30. — Dans
la même période des années '20-'30, signalons
l'infatigable activité, outre-Atlantique, de Cecil B.
DeMille : Les Dix Commandements (1923), Le Roi des
Rois (1928 [en Technicolor]), Le
Signe de la Croix (1932), Cléopâtre
(1937). Sans oublier le Ben Hur de Fred Niblo (1924)
et, en France, le Salammbô de Pierre Marodon (1925),
coproduit avec l'Autriche, ainsi que Les dieux s'amusent
(l'Amphitryon de Plaute) de Reinhold Schützel et
Albert Valentin (1935), coproduit avec l'Allemagne.
Cléopâtre (C.B. DeMille, 1937)
: Claudette Colbert
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Ces «incunables» ou «primitifs», on
les nomme aussi «anté-péplums», le
terme «péplum» n'apparaissant que dans les
années soixante, dans le sillage du «Nickel-Odéon»
- le ciné-club de Bertrand Tavernier - et des revues
Les cahiers du cinéma et Positif. Nous
y arrivons
Le second âge d'or (1957-1964).
— Le premier âge d'or du péplum révolu,
un second se profile trente ans plus tard. Après la Seconde
Guerre mondiale, la concurrence de la télévision
impose à Hollywood d'inventer de nouvelles recettes pour
attirer le public. Ce sera l'écran large avec le CinemaScope
(Hypergonar), un procédé inventé par le
Français Henri Chrétien pour la 20th Century-Fox
(La Tunique,
1953; Les
Gladiateurs, 1954; L'Egyptien, 1954), ensuite
adopté par la Warner (Le Calice d'Argent, 1955),
mais aussi la Vista Vision de la Paramount, le Todd-AO etc.
A vrai dire, le péplum a refait surface en Italie dès
la chute du fascisme : L'Apocalypse de Gian Maria Scotese
(1946), Fabiola
d'Alessandro Blasetti (1947), Les
derniers jours de Pompéi de Marcel L'Herbier
(1948), Néron,
Tyran de Rome de Primo Zeglio (1949), tandis qu'aux
States C.B. DeMille tourne Samson et Dalila (1948) avec
Victor Mature et Hedy Lamarr, l'année de la fondation
de l'Etat d'Israël. Hasard ? On peut en douter. Comme les
Américains possèdent des avoirs bloqués
en Italie, où l'on trouve d'ailleurs d'excellents techniciens
à moindre salaire, on vient tourner à Rome, d'abord
en format standard : Quo
Vadis (Mervyn LeRoy, 1951) et Ulysse
(Mario Camerini, 1954); puis en scope : Hélène
de Troie (Robert Wise, 1956), Ben
Hur (William Wyler, 1959) etc. Les décors d'Ulysse
abandonnés donnent des idées à Pietro Francisci
qui les récupère pour tourner Les
Travaux d'Hercule avec en vedette «Mister Universe
1950», Steve Reeves. Le muscle opera est né.
En Italie le péplum va prospérer de 1959 à
1964 au rythme de 30 à 40 films par an. Ces films storico-mitologico
exploreront tous les recoins de l'Antiquité (et parfois
en déborderont : Maciste
contre Zorro, etc.).
Le Second âge d'or
du péplum jette des passerelles entre les civilisations
et les scénarios s'interpénètrent.
En 1948, Samson-Victor Mature pliait des barres de fer
(Samson et Dalila, C.B. DeMille); dix ans plus
tard, Hercule-Steve Reeves ne pouvait pas faire moins
(Hercule et la Reine de Lydie, 1958)...
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Peut-être à cause du bodybuilding, le péplum
italien recueille un succès incroyable aux Etats-Unis,
d'ordinaire peu ouverts au cinéma européen. Au
vrai, le succès est foudroyant aussi bien des deux côtés
de la Méditerranée; au point qu'Yves Courrière
dans Les Fils de la Toussaint, premier tome de sa Guerre
d'Algérie, peut montrer les responsables des attentats
du 1er novembre 1954 se retrouvant le soir «débriefant»
en faisant la queue devant le «Splendid» d'Alger,
cinéma populaire où l'on passait «quelqu'aventure
d'Hercule ou de Maciste». L'anecdote est savoureuse,
même si le premier «Hercule» date en fait
de 1957 (Les Travaux d'Hercule) et le premier «Maciste»
de 1960 (Le Géant de la Vallée des Rois)
! Les péplums furent le genre cinématographique
emblématique par excellence des Fiveties-Sixties.
Toutefois en 1965, une nouvelle mode tombe comme un couperet
de guillotine : le western-spaghetti détrône le
péplum. Le «second âge d'or» (1957-1964)
entamait son chant du cygne.
Les années '70. — Les films
sur l'Antiquité commencent à se raréfier,
ce qui ne signifie nullement qu'on n'en tourne plus. La TV -
la TV britannique, la BBC - acte la revanche du petit écran
sur l'écran large avec des feuilletons comme L'aigle
de la IXe Légion (Michael Simpson, 1977), d'après
le roman de Rosemary Sutcliff, et Moi
Claude, empereur (Herbert Wise, 1976) d'après
le roman de Robert Graves. Et, en Italie, Jésus de
Nazareth (Franco Zeffirelli, 1975/77 - film et série
TV). De 1977 date le projet de Franco Rossellini (le neveu de
Roberto) d'un Caligula,
qui finira par tomber entre les griffes de Bob «Penthouse»
Guccione et donnera au péplum érotique le chef-d'oeuvre
que l'on sait, par ailleurs très belle illustration des
délires de Suétone (Tinto Brass & Bob Guccione,
1979).
Les années '80. — A côté
de quelques films pour le grand écran comme le mythologique
Choc des Titans (Desmond Davis, 1981), ces années
'80 verront le péplum se décliner selon trois
axes :
1) Les séries-TV : Masada
(Boris Sagal, 1980 - 4 épisodes), Les
derniers jours de Pompéi [ABC/RAI] (Peter Hunt,
1983 - 6 épisodes), Anno
Domini (Stuart Cooper, 1984 - 13 épisodes), Quo
Vadis ? [RAI] (Franco Rossi, 1984 - 6 épisodes) et
quelques autres inédites chez nous ou avortées;
2) Les caligulades érotiques : Les folles nuits
de Caligula, Messaline, impératrice et putain, Les aventures
sexuelles de Néron et Poppée, Caligula la véritable
histoire, Les orgies de Caligula, Les nuits chaudes de Cléopâtre,
etc.
3) Les SF-heroic fantasy - dans le sillage de Rollerball,
Conan le Barbare,
Mad Max et autre Guerre du Feu confondus dans
le même creuset. Dans un monde post-apocalyptique, les
hommes revenus à la barbarie organisent des combats de
gladiateurs futuristes. Citons seulement parmi vingt autres
Roma año 2072
D.C. Los Gladiatores...
Une mention spéciale, toutefois, pour les deux Hercule
de Luigi Cozzi [Lewis Coates] qui, tablant sur la mode Star
Wars, sous les traits de Lou Ferrigno envoie le fils de
Zeus dans l'Espace explorer les potentialités laissées
entre-ouvertes par L'astronomie poétique d'Hyginus
et l'école de Max Müller ! (Le second volet, Les
aventures d'Hercule, ne connaîtra qu'une discrète
diffusion vidéo.)
Les années '90. — Entre
1993 et 2002 (?), la Lube produit une série TV retraçant
les principaux épisodes de La Bible. D'abord l'Ancien,
puis le Nouveau Testament. De la Genèse à L'Apocalypse,
elle totalise actuellement 14 épisodes. La série
se distingue du péplum hollywoodien par sa volonté
d'éviter le kitsch grandiose pour, au contraire, tenter
de renouer avec la simplicité biblique des décors
de l'Afrique du Nord où les épisodes sont tournés.
La seconde moitié des année quatre-vingt-dix
sera pour sa part marquée par le succès de deux
séries-TV américaines tournées en Nouvelle-Zélande
: Hercule
(Legendary journeys of Hercules, 4 saisons, 5 téléfilms
& 116 épisodes, 1994-1998) et son spin-off Xena
la Princesse Guerrière (Xena Warrior Princess,
6 saisons, 134 épisodes, 1995-2001). Si Hercule
est un mélange de mythologie grecque et d'heroic fantasy
axé sur des effets spéciaux numériques
animant des créatures fantastiques, Xena - plus
réaliste - sera redevable de son succès à
son double niveau de lecture enfantin et lesbien. La série
est mythique chez les gay. Xena revisite tous les genres (épique,
burlesque, comédie musicale), toutes les époques
et tous les mythes - de la Grèce au Japon des Samouraïs,
en passant par les Nibelungen, l'Inde védique, la Bible,
Charles Dickens et Indiana Jones. Aussi est-ce tout naturellement
qu'elle rencontre Jules César, Brutus et Pompée,
et même Boadicée et Vercingétorix...
Une certaine idée
de l'Antiquité romaine : dans ce plan décolorisé
pour suggérer des images d'archives, Ridley Scott
télescope le triomphe de Commode avec les grands-messes
nationales-socialistes de Nuremberg (Gladiator).
Pour la circonstance, le Colisée se voit associé
une grandiose esplanade qu'on rechercherait vainement
au pied du Palatin...
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Le troisième âge d'or ?
— En 2000, le péplum entre dans son «troisième
âge d'or» grâce au succès de Gladiator
de Ridley Scott. Les superproductions se suivent et ne se ressemblent
pas : Vercingétorix
(Jacques Dorfmann, 2000), Quo
Vadis ? (Jerzy Kawalerowicz, 2001), The
Passion of the Christ (Mel Gibson, 2004), Troie
(Wolfgang Petersen, 2004), Alexandre
(Oliver Stone, 2004) et Le
roi Arthur (Antoine Fuqua, 2004) qui restitue au Bas-Empire
les premiers éléments de la geste arthurienne;
les séries TV Empire
[ABC] (J. Gray, K. Manners, G. Yaitanes, 2005) et Rome
[HBO] (2005-2007 - 2 saisons); le controversé 300
(Zack Snyder, 2006), le décalé La
dernière légion (Doug Lefler, 2007) et,
enfin, le franchouillard Astérix
aux Jeux Olympiques (Frédéric Forestier
& Thomas Langmann, 2008) pour ne citer que les principales.
Inévitable tyrannie
de la durée du film face à l'ampleur de
la matière historique : il faut raccourcir et simplifier.
Dans Troie de Wolfgang Petersen, parmi d'autres
rétrécissements, on verra le Grand Ajax
[Tyler Mane] «au bouclier haut comme une tour»
chanté par Homère, tomber sous les coups
d'Hector lors de son assaut contre le camp grec (en réalité,
il repoussait Hector et les Troyens, et même lui
survivait - mais finissait par se suicider après
avoir, dans un coup de folie, massacré les boeufs
des Achéens). Seul Ajax pouvait tuer Ajax !
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Signalons également la collection de téléfilms
produite par Hallmark : L'Odyssée (Click
& Click) (Andrei
Konchalovsky, 1997), Merlin
(Steve Barron, 1998), L'Arche de Noé (John Irvin,
1999), Cléopâtre (Franc Roddam, 1999), Jason
et les Argonautes (Nick Willing, 2000), La Terre Promise
(Kevin Connor, 2000), Hercule (Roger Young, 2005), The
Ten Commandments (Robert Dornhelm, 2005).
Nous sommes entrés dans une nouvelle ère du péplum,
à présent placée sous le signe du téléfilm,
de la télésuite et du docufiction TV tels les
deux quasi homonymes Rome
: Grandeur et décadence d'un Empire (Ancient Rome
: The Rise and Fall of an Empire) [BBC & ZDF] (GB-AL,
2006 - 6 épisodes), série très soignée,
et... Rome : grandeur
et décadence d'un Empire (Rome : Rise and Fall of
an Empire) [History Channel] (Rex Piano, GB-EU - 2008 -
13 épisodes), qui souffre de certaines méthodes
économiques telles ces scènes standardisées
se retrouvant dans nombre d'épisodes, mais qui a le mérite
de traiter de sujets rarement abordés à l'écran.
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