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Spartacus : Blood and Sand
(13 ép. TV - prod. Starz)
(R. Jacobson, M. Hurst, J. Warn etc.,
EU - 2010)
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6. Filmographie
Created Equal (TV)
(épisode nç 2.1, série Voyagers
!)
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Etats-Unis, 1982
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Prod. : NBC-Universal-Scholastic
(NBC 10.10.82) / Coul. / 50'
Fiche technique
Réal. : Virgil A. VOGEL.
Fiche artistique
Don PASTORINI (Spartacus) - Fay HAUSER - Jay ROBINSON (Cicéron)
- Leigh HAMILTON (Octavie) - Robin IGNICO (Calpurnie) - Allan
LURIE - Jon ERIK-HEXUM (Phinéas Bogg).
CRITIQUES
«Science-fiction loufoque : le voyageur dans le temps
Phinéas Bogg (sic) sauve Spartacus d'une mort certaine
dans l'arène et l'aide à fuir pour organiser la
révolte des esclaves.»
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Hervé DUMONT, L'Antiquité
au cinéma
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Et pour ceux qui l'auraient oublié
: dans le rôle de Cicéron, le magnifique Jay Robinson
qui incarna Caligula dans La Tunique et Les gladiateurs. |
Vraie
histoire de Spartacus (La) (documentaire)
(TV) |
Grande-Bretagne, 2000 (2001)
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Real Spartacus (The)
Real Spartacus (The) [GB]
Minä olen Spartacus ! [FINLANDE]
Prod. : Channel 4 Televison Corporation MM - Granada 4 Production
/ Coul. / TV / 52'
Fiche technique
Réal. et Prod. : Bill LYONS; Images : Graham VEEVERS; Associate
Producer : James MILLAR; Executive Producer : Bill JONES; Location
Manager : Maria Laura FRULLINI; Production Manager : Karen STOCKTON;
Film Editor : Mark ELLIOTT; Son : Andre DAVIE; Dubbing Mixer :
Dion STUART; On-Line Editor : Dan YEOMANS; Colourist : Neil PARKER;
Graphic Design : Phil BUCKLEY; Musique : Howard DAVIDSON.
Fiche artistique
Charles DANCE (narrateur V.O.). Intervenants : Keith HOPKINS (prof.
Histoire ancienne, Univ. Cambridge) - Maria WYKE (Univ. Reading)
- Andrew Wallace HADRILL (British School, Rome).
DISTRIBUTION
GB/ TV : 4 février 2001
FR/ TV : Planète, jeudi 20
juin 2006
NOTES
Tournage dans les Alpes (Italie).
Participation : Professeurs Anton VAN HOOFF, Keith BRADLEY, Thomas
WIEDEMANN.
Remerciements : Carmeto Impiombato / Legio XIIII Gemina Martia
Victrix / Instituto Ars Dimicandi (Curno) / Cadw Welsh Historic
Monuments / Universal Studios Licensing Inc. / Associated Press
/ Soprintendenze Archeologische di Roma, Napoli e Caserta, Pompei,
Basilicata / Museo della Civiltà Romana (Rome) / Museo
Provinciale Campano / Italcementi (Bergamo) / Bardon Aggregates.
Voix françaises : Constantin PAPAS, Alain CHOQUET, Damien
FERRETTE, Pauline MAÎTRE; Adaptation : Valérie JULIA;
Version française : TÉLÉ EUROPE pour les
chaînes PLANÈTE
L'amphithéâtre de Capoue |
SCÉNARIO
Au-delà du célèbre mythe hollywoodien, Spartacus
fut un homme réel qui aurait pu modifier le cours de l'histoire.
Ancien berger devenu soldat, Spartacus déserta, fut repris
et réduit en esclavage puis vendu comme gladiateur. En
73 av. n.E., il réussit à s'évader, et à
entraîner avec lui une bande d'esclaves en fuite qu'il transforma
en une force capable de rivaliser avec la plus puissante des armées
du Monde Antique. Ainsi, il mit en déroute l'armée
romaine plus de 9 fois en près de deux ans, et réussit
à prendre cinq aigles de légion ainsi que leurs
étendards.
Dans les traces de ce gladiateur rebelle, ce documentaire revient
sur la marche d'une armée d'esclaves et leur quête
désespérée de liberté [Planète
TV].
En fait, il ne s'agit pas à proprement parler d'un
docufiction mais d'un documentaire incluant de nombreux extraits
du Spartacus de Kubrick et quelques plans de la version
muette de 1913 (?). Interviennent également, pour la légion
romaine, les re-enactors de la XIIII Gemina Martia Victrix et,
pour les gladiateurs, ceux d'Ars Dimicandi. Les légionnaires,
dans leurs loricæ segmentatæ du Ier s. de n.E.
sont quelque peu anachroniques (mais en parfaite adéquation
avec les détails de la Colonne trajane qui leur sont juxtaposés);
idem pour les gladiateurs qui sont de la même période,
mais qui - pour une fois, dans ce genre de film - sont un véritable
régal pour les connaisseurs. Dommage que leurs prestations
ne soient pas approfondies, mais ce n'était sans doute
pas l'objectif de la production.
Le scénario est sans surprise : comme toujours, un guide
en voiture bleue - un certain Marc Corby, ancien membre des Renseignements
militaires - prétend enquêter sur l'«énigme
Spartacus». Et ballade le téléspectateur aux
quatre coins de l'Italie. A Rome, bien sûr, à Capoue,
à Pompéi, sur le Vésuve, à Modène
puis dans les Alpes, à Reggio di Calabria enfin, puis sur
les bords du Silarus. Espérons que les sites soient bien
tous authentiques (dans l'évocation de Rome et de la romanité,
on a filmé beaucoup de statues néo-classiques).
Au passage, Corby nous apprend les caractéristiques du
glaive romain : 56 cm, 1,5 kg. On transperce l'abdomen d'un coup
d'estoc, sectionne le système nerveux, puis retire la lame.
Ou on vise la gorge ou la face. Aussi le supplice de la crucifixion,
les clous qu'on utilisait... Une bourde, pas bien grave pour le
téléspectateur de base, mais tout de même
: au début du docu, on nous emmène dans une maison
riveraine du Forum romanum que l'on suppose avoir appartenu
à un riche marchand nommé Æmilius Scaurus,
qui avait des centaines d'esclaves - visite de leurs cellules
dans les sous-sols, aussi exiguës que des tiroirs de morgue
(1).
Ledit «riche commerçant, [fut] à
l'origine de la construction du premier amphithéâtre
de Rome», nous est-il affirmé. En fait, cet Æmilius
Scaurus qui nous est connu par Pline (PLIN., H.N., XXXVI,
24), édile
en -58, se ruina en construisant non pas un amphithéâtre
mais un théâtre provisoire d'un luxe assez incroyable
puisqu'il comptait 360 colonnes de 38 pieds de haut et 3.000 statues
de bronze, et comptait trois étages, le premier de marbre,
le second de verre, le troisième de bois doré, et
pouvait accueillir 30.000 personnes (2).
Devenu préteur, il renfloua ensuite ses caisses en pillant
la Sardaigne où il avait été envoyé.
A noter que son père - qui avait été consul
en 115 - et son grand-père, quoique d'illustre famille,
avaient été si pauvres qu'ils durent un temps exercer
le commerce de charbonnier. Ceci pour nuancer ce que pourrait
avoir de péjoratif au regard des valeurs romaines de l'époque
l'étiquette de «riche commerçant» attribuée
par le docu.
On notera que selon Mister Corby, le «guide»
de ce docu, Spartacus vainqueur des troupes du gouverneur de Modène,
aurait inexplicablement renoncé à poursuivre sa
route à travers les Alpes et serait revenu en Italie se
jeter dans la gueule de la Louve romaine. Ce comportement est
présenté comme velléitaire, à moins
que Spartacus ait redouté - une fois échappé
aux Romains - de perdre son commandement militaire, ainsi que
le butin facile ! Il existe des explications plus sensées
(3).
Détail amusant : dans les derniers plans, Marc Corby
se ballade dans un champ d'orge en effleurant les épis
du bout des doigts. Gladiator a de nouveau frappé
: ce docu est daté ! |
Spartacus
- Gladiator gegen Rom (TV) |
Allemagne, 2002
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Prod. : ZDF / 51'
Fiche technique
Réal. : Günther KLEIN.
Docu-fiction avec acteurs anonymes. |
Spartacus
(TV) |
Etats-Unis, 2004
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Prod. : Kurdyla Entertainment - USA
Network Pictures / Coul. / 165'
Fiche artistique
Réal. : Robert DORNHELM (d'après Howard FAST).
Sur ce site, nous avons consacré au téléfilm
de Robert Dornhelm un dossier détaillé : CLICK.
Fiche artistique
Goran VISNJIC (Spartacus) - Alan BATES (sénateur Antonius
Agrippa) - Angus MacFADYEN (Marcus Licinius Crassus) - Rhona MIRRA
(Varinia) - Ian McNEICE (Lentulus Batiatus) - Henry SIMMONS (Draba)
- Assen BLATECHKI (Polymus) - Stuart BUNCE (Cornelius Lucius)
- Paul KYNMAN (Crixus) - Georgina RYLANCE (Helena) - Hristo SHOPOW
(Mæcenus) - George CALIL (Pompée) - Richard DILANE
(Jules César) - Ben CROSS (Varinius Glaber) - James FRAIN
(David) - Niall REFOY (Publius Maximus).
DISTRIBUTION
EU/ TV : Network Pictures, 18 avril
2004
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CRITIQUES
«Produit par Ted Kurdyla (responsable du téléfilm
Helen of Troy en 2003) d'après un scénario de
Robert Schenkkan, lauréat du prix Pulitzer, adaptation
qui, sur le plan événementiel, s'avère plus
fidèle au roman d'Howard Fast que le film de Kubrick. On
y trouve cette même volonté de faire passer une vision
idéologique moderne, noyée dans le sentimentalisme.
En prologue, Spartacus supplie Varinia (sa compagne gauloise qui
attend un enfant) de rester en vie pour raconter à la postérité
ce qu'ils ont tenté de créer : un monde sans maîtres
ni esclaves, où tous les biens sont en commun, où
hommes et femmes sont égaux, une société
sans racisme (il y a des Noirs et un Juif parmi les révoltés),
etc. Certains épisodes négligés par Kubrick
sont développés, tels que la destruction de l'armée
de Caius Claudius Glaber au pied du Vésuve, la défaite
des deux légions de Publius Maximus, les généraux
romains vaincus contraints de se battre comme des gladiateurs,
le lynchage des familles patriciennes par les esclaves déchaînés,
la décimation des légions «lâches»
sur ordre de Crassus, la défection du Gaulois Crixus qui
est massacré avec ses hommes au pied du mont Garganus,
l'encerclement des rebelles dans le Bruttium et finalement Pompée
raflant les honneurs de la victoire à Crassus. Spartacus
est un homme indécis, plein de doutes, qui refuse d'abord
son rôle de chef puis règne en autocrate sur des
milliers d'esclaves. Acculé à la mer, il se rend
seul et désarmé dans le camp ennemi afin d'offrir
sa vie en échange de celle de ses compagnons. Crassus ricane.
Le tournage se fait en Bulgarie, dans les studios Nimar à
Sofia - soit en Thrace, dans la patrie même de l'authentique
Spartacus - avec un budget de 20 millions de dollars. Hélas,
les comédiens manquent singulièrement de relief
(excepté Alan Bates qui décède du cancer
peu après et auquel le film est dédié). Quant
à l'illustration de Dornhelm, elle est plus appliquée
qu'inspirée, de sorte que la figuration semble minimaliste
malgré le numérique (prix VESA pour l'excellence
des effets spéciaux).»
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Hervé DUMONT, L'Antiquité
au cinéma
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[Spartacus
le] Gladiateur. Il rêvait d'être libre
(DVD) |
France, 2005
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Prod. : Universal Music / Coul. /
103'
Fiche technique
Réal. : Elie CHOURAQUI; Prod. : Valéry ZEITOUN (AZ/Universal);
Chansons : Maxime LE FORESTIER [paroles et musique].
Fiche artistique
Jérôme COLLET (Spartacus) - Christophe HÉRAUT
(David de Judée) - YAËL (Calicia, esclave palestinienne)
- Maxime BAUDOIN (enfant) - Alain CHENEVIÈRE (Caius Licinius
Crassus) - HILLYA (Héléna, courtisane) - D. DY (Batiatus)
- Moïse N'TUMBA (Draba l'Africain).
SCÉNARIO
«L'émotion, la passion, la révolte, un
message de liberté...» proclame le slogan.
Comédie musicale d'Elie Chouraqui (Les Dix Commandements)
créée au Palais des Sports (Paris), en octobre 2004,
et largement inspirée du roman d'Howard Fast, et plus encore
du film qu'en tira Stanley Kubrick en 1960.
VIDÉOGRAPHIE
DVD : Spartacus le Gladiateur, Universal, P. 2005.
DISCOGRAPHIE
CD : Gladiateur (Il rêvait d'être libre), Universal
Music Publishing/Incidence (Universal/AZ - EC7), réf. 981
629-8, P. 2004.
BIBLIOGRAPHIE
BD : Jean-Luc ISTIN (sc.) et Serge FINO (d.) [d'après le
livret du spectacle musical d'Elie Chouraqui], Spartacus -
Le gladiateur, t. 1 : «Morituri te salutant»,
Soleil, 2004.
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ANALYSE
Elie Chouraqui a soigneusement compilé tout ce qui a été
dit et écrit au sujet de Spartacus. Son scénario
suit assez fidèlement le film de Stanley Kubrick, ainsi
le prologue dans les mines de Namibie, et le roman d'Howard Fast
- la transmission du souffle de vie, p. ex. Le résultat,
s'il est fort peu historique - nous restons doublement perplexe
quand on nous parle de «mines de marbre en Namibie»
- est d'une grande puissance poétique et politique ! Bien
sûr, Spartacus le Gladiateur ne contribuera pas à
rectifier les clichés sur la gladiature; selon le schéma
marxiste, l'exigence de tuer et se faire tuer pour le seul divertissement
d'une foule dégénérée reste le symbole
absolu de l'aliénation de l'homme. Un symbole très
fort. Et toujours d'actualité, avec ou sans gladiateurs.
Chouraqui réorganise donc l'archéologie, l'histoire
et la géographie pour créer sur scène la
beauté pure. Ah ! le chant de Batiatus ! «Je veux
des hommes / Qui ne connaissent que l'enfer / Que la peur fait
rire / Que les coups font rugir (...) Je veux des hommes
/ Qui relèvent la tête / Quand on les fait ramper
!» Et celui de Crassus au Sénat : «Vous
n'allez pas laisser debout / Ceux qui bafouent / L'ordre et la
loi / La loi c'est vous / L'ordre c'est moi / Donnez moi l'ordre,
je fais la loi.»
CRITIQUES
«Captation du superspectacle d'Elie Chouraqui, sur une
musique et des paroles de Maxime Le Forestier, monté au
Palais des Sports à Paris dès le 1.10.2004. Chouraqui
reprend des situations du film de Stanley Kubrick, y ajoute une
belle Africaine, un enfant et un Judéen qui transmet à
Spartacus l'idée d'un Dieu unique. Chouraqui veut «un
spectacle contre le racisme, contre les différences, l'obscurantisme,
la bêtise» mais ne réussit qu'un cocktail sirupeux
de lieux communs et de formules à la mode.»
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Hervé DUMONT, L'Antiquité
au cinéma
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Spartacus
(docufiction) (TV) |
Etats-Unis, 2005
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Spartacus : Gladiator War
Prod. : Charlotte Wheaton - Atlantic Productions - TBC - National
Geographic Channel / Coul. / 52'
Fiche technique
Réal. : Dan OLIVER & Tom POLLOCK.
Fiche artistique
Derek LEA (Spartacus) - Nicholas SCHATZKI (narrateur).
DISTRIBUTION
EU/ TV : National Geographic Channel
(Histoire), 7 avril 2007
BE/ TV : LaDeux (RTB), mercredi 24
décembre 2008
NOTES
Avec la participation de : Prof. Barry STRAUSS, Univ. de Cornell
- Mei TROW, auteur, Rubicon - Crispin SWAYNE, historien
- John Maddox ROBERTS,
auteur SPQR.
Dans la version 2005, Derek Léa incarne
Spartacus, ancien légionnaire devenu déserteur |
SCÉNARIO
L'année 73 avant J.-C. fut marquée par l'évasion
de 74 pensionnaires d'une école de gladiateurs située
à Capoue. Ce fait divers sera à l'origine d'une
formidable guerre civile (sic), une guerre servile (4)
qui fera courir à Rome l'un des plus grands dangers de
son histoire. Les fugitifs s'armèrent eux-mêmes de
couteaux de cuisine et de broches de rôtissoire et prirent
comme chef Spartacus, un déserteur de l'armée romaine,
repris et réduit en esclavage. Au bout de quelques mois,
les insurgés furent rejoints par une foule d'esclaves en
fuite, de petits paysans et de bergers formant ainsi une armée
de plus de 100.000 hommes. |
Spartacus,
un gladiateur rebelle (docufiction) (TV)
(épisode de la série Chefs de Guerre)
|
GB - EU - AL, 2008
|
Spartacus (série Heroes
and Villains)
Prod. : Laura Burrows - BBC tv - Discovery Channel - Pro Sieben
- ERT / Coul. / 55'
Fiche technique
Réal. : Tim DUNN; Scén. : Colin HEBER-PERCY &
Lyall B. WATSON; Images : Rob GOLDIE; Prod. : Matthew BARRETT
(executive producer), Laura BURROWS (line producer & producer);
Production Design : Alan SPALDING; Art Direction : Gregory FANGEAUX;
Costume Design : Ros LITTLE. - Makeup Department : Sophie
BRICE (makeup artist), Kirstie STANWAY (makeup designer). - Second
Unit Director or Assistant Director : Mouhssine EL BADAOUI
(first assistant director : second unit), Eliot MATHEWS (second
assistant director). - Art Department : Gregory FANGEAUX
(storyboard artist), Sophie HERVIEU (stand-by art director), Ollie
NOVADNIEKS (buyer), Bjarne TUNGLAND (art department trainee).
- Sound Department : George HAPIG (foley artist). - Visual
Effects : Garrett HONN (visual effects supervisor), Luciano
LOPES (digital compositor). - Cascades : Krisztian KERY
(assistant stunt coordinator), Krisztian KERY (stunt double :
Spartacus), Zoltan MOLNAR (stunt rigger), Attila MORA (stunts),
Gábor PIROCH (stunt coordinator), Ákos SINKÓ
(stunts), Gáspár SZABÓ (stunts). - Camera
and Electrical Department :), Perry BARWICK (camera operator).
- Casting Department : Jane ANDERSON (casting assistant).
- Editorial Department : Lisa CLIFFORD-OWEN (assistant
editor). - Divers : Claire ROBERTS (production secretary),
Claire ROBERTS (script secretary); Musique : John DUTTON.
Fiche artistique
Anthony FLANAGAN (Spartacus) - Nadia BOUSSETTA (femme de Spartacus)
- Andrew TIERNAN (Crixus) - Johnny HARRIS (nomæus
/ narrateur) - Robert GLENISTER (Crassus) - Rupert VANSITTART
(consul Lentulus) - Mark WINGETT (Batiatus) - Jamie FOREMAN (marchand
d'esclaves).
DISTRIBUTION
GB/ TV : 29 février 2008
NOTES
Tournage en Tunisie (Studios Sinbad) et en Hongrie.
SCÉNARIO
Série en six épisodes, Chefs de Guerre (Heroes
and Villains), retrace la vie de grands guerriers par d'aucun
considérés comme des héros, par d'autres
comme des monstres, qui ont marqué l'histoire de leur empreinte
: Attila le Hun, Napoléon, Richard Cur de Lion, le
conquistador Cortès, Spartacus ou encore le shogun Tokugawa
Ieyasu.
Cette série de documentaires raconte leur destin et reconstitue
les moments cruciaux qui ont forgé leur légende.
CRITIQUE
«Pour les auteurs de ce téléfilm (...)
Spartacus est un solide guerrier, mais ni un chef politique, ni
un stratège : son armée parcourt l'Italie sans but
précis, hésitant entre pillages, l'attaque de Rome
et la fuite en Gaule, entre rapine, esprit de vengeance et soif
de liberté. Meurtri par la perte de son épouse (au
début du récit), Spartacus est montré comme
un idéaliste naïf, quoique astucieux et colérique.
nomaus, bras
droit du gladiateur, narre en voix off les exploits de cet «homme
qui rendait les coups». Comme le film de Dornhelm quatre
ans plus tôt, on illustre le sac meurtrier de Forum
Annii par les insurgés, la décimation des légions
ordonnée par Crassus, la scission de Crixus. A la fin,
à Rhegium, les esclaves rebelles sont acculés à
la mer et les Romains construisent des fortifications pour les
enfermer. Spartacus meurt au combat, on ne retrouvera pas son
cadavre, comme l'atteste la chronique. Les crucifixions finales
accusent l'aspect pseudo-christique de cette épopée
aux accents humanistes avec une surenchère bien inutile
de violons et de couchers de soleil. On peut par ailleurs regretter
que l'équipe de la très sérieuse BBC ait
consacré plus de temps aux corps à corps violents
(les batailles ne sont guère crédibles) qu'à
la mise en évidence des implications historiques et sociologiques
de la guerre servile. Le réalisateur, qui souhaite probablement
appuyer le côté «héros du peuple»,
fait du reste parler ses gladiateurs (et le narrateur) slaves,
gaulois ou germains avec un fort accent cockney, digne du prolétariat
des films d'un Ken Loach ou d'un Mike Leigh. Un curieux parti
pris.»
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Hervé DUMONT, L'Antiquité
au cinéma
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Spartacus
(docufiction) (TV)
(épisode 2/13 de la série Rome : grandeur
et décadence d'un Empire) |
Etats-Unis - Grande-Bretagne, 2008
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Spartacus (Rome : Rise and Fall
of an Empire)
Rome : Rise and Fall of an Empire [EU] / Rome - Death of an
Empire [t/trav.]
Prod. : Gardner Films, pour History Channel (Distribution mondiale
: A & E Television Networks) / Coul. / 44'
Fiche technique
Réal. : Rex PIANO; Scén. : Carrie GARDNER (head
writer), Steven ZORN (writer); Produced : Char GARDNER (producer),
Robert H. GARDNER (series producer); Cinematography : Nick GARDNER;
Film Editing : Jonathan RACE; Production Management : Gabija SOLTONAITE
(post-production manager); Art Department : Gediminas GERULIS
(stand-by props); Visual Effects : Jeremy MORRISON (visual effects);
Camera and Electrical Department : Mark HUTCHINGS (gaffer), Jason
REMEIKIS (assistant camera); Editorial Department : Jeremy MORRISON
(senior editor); Mus. : Michael Richard PLOWMAN (CLICK).
Fiche artistique
Leif ANDERS (narrateur V.O. [ou Saul REICHLIN ?]) - Paul BICKNELL
(voix) - Andre de NESNERA (voix) - Rome KNIGHT (voix) - Sam MERCURIO
(voix) - Herb OTTER JR [Michael BIHNAT] (voix) - Karl OTTER (voix)
- Frédéric VAN DEN DRIESSSCHE (narrateur VF).
Avec la participation de : Noel LENSKI (University of Colorado)
- Thomas R. MARTIN (College of The Holy Cross) - David S. POTTER
(University of Michigan).
DISTRIBUTION
GB/ TV : History Channel, 20 avril
2008
EU/ TV : 28 juillet 2008
FR/ TV : Planète, 18 novembre
2008
VIDÉOGRAPHIE
Cette série docufiction, dont nous avons déjà
traité en détail
sur le présent site est maintenant disponible en DVD
Région 2, mais sans doublage ni sous-titrage français.
NOTES
Tournage en Lituanie. Comédiens anonymes dans les rôles
(muets) de Spartacus, Crixus, Crassus et Pompée.
Les gladiateurs tirent à la courte
paille celui qui leur sera opposé, ce qui risque
de produire des paires incompatibles (un thrace contre un
rétiaire, p. ex.) |
SCÉNARIO
Les généraux romains Pompée et Crassus, à
la tête de leurs puissantes légions de mercenaires
et de soldats, n'anticipent pas la révolte des esclaves
que mène Spartacus. Ce guerrier thrace a déserté
l'armée romaine avant d'être capturé et rabaissé
au rang d'esclave, puis contraint de combattre comme gladiateur.
En 73 av. n.E., il réussit l'exploit de soulever 70.000
gladiateurs à la grande surprise des deux généraux.
Crassus réprimera durement la révolte mais c'est
son rival, Pompée, plus populaire que lui, qui en tirera
les bénéfices, puisqu'il sera élu consul
grâce à l'appui des soldats et du peuple. |
Morituris
(2008)
Prod. : ? / 85'
Fiche technique
Réal. & Prod. : Raffaele PICCHIO; Scén. : Laura
ROSSETTI; Maquillages : Sergio STIVALLETTI (Phenomena, Opera,
Démons).
Fiche artistique
Gaia CAPECE - Mariano BAFFI - Désirée GIORGETTI
- Giuseppe NITTI - Simone RIPANTI - Andrea De BRUYN.
DISTRIBUTION
IT/ (aucune certitude quand à
la finalisation/distribution de ce film annoncé)
NOTE
Tournage : août-septembre 2007.
Site : www.morituris.com
SCÉNARIO
En 73 av. n.E., Spartacus s'évade de la caserne des gladiateurs
de Capoue et, avec deux cents autres compagnons d'infortune, prend
le maquis et mène contre les légions de Rome une
guérilla sans pitié. Sous-estimant ce nouvel ennemi,
le Sénat ne lui oppose que deux légions, bien vite
anéanties par les rebelles.
La guerre dura deux ans, au terme desquels Rome écrasa
les révoltés et en crucifia 6.000 le long de la
voie Appienne. Quant à Spartacus, son corps ne fut jamais
formellement identifié. Ce qu'on ignore, par contre (suggère
le film), c'est que ses partisans, rendus fous par le froid et
la faim, devinrent pour certains incontrôlables et se livrèrent
au pillage, au meurtre et au viol. Ces brebis galeuses, Spartacus
les exécuta. Là s'arrête l'Histoire et...
commence Morituris, lorsque les condamnés reviennent
d'entre les morts pour se venger...
Morituris, crucifixion (photo de tournage) |
CRITIQUES
«Cela ressemble à du Jean Rollin de la plus belle
eau» (Fal). «Ce qui ressemble a priori
à un péplum hollywoodien style Gladiator
- note Cédric Delelée dans Mad Movies - est
en réalité un film d'horreur italien shooté
en HD avec un budget riquiqui, plus proche de Michele Soavi que
de Stanley Kubrick ou Ridley Scott : des épées,
du sexe, du gore avec des maquillages signés Sergio
Stivaletti, cette première mise en scène de Raffaele
Picchio excite autant qu'elle intrigue, d'autant que le projet
annonce comme référence «le nouveau cinéma
d'horreur français», citant Haute Tension, Sheitan,
Calvaire et A l'intérieur (cherchez l'intrus).
Un peu facile, comme note d'intention, sauf qu'elle promet une
violence décomplexée. Le film est scénarisé
par Laura Rossetti du magazine Nocturno (le Mad Movies
transalpin), et il ne fait aucun doute qu'il transpire l'amour
du genre. Problème : avec un pitch pareil, ils n'ont
pas droit à l'erreur. On est donc très impatients
de voir ça...»
|
ANALYSE
La vérité est souvent pire. - Inutile
de remonter jusqu'à Hercule
contre les vampires, qui est un film fantastico-mythologique.
Ce n'est pas la première fois que le péplum mélange
horreur gothique et histoire romaine : en 1962, Rome
contre Rome (War of the Zombis) de Giuseppe Vari montrait
une armée de légionnaires morts-vivants retournés
contre leurs camarades par un mage maléfique. Dans l'Odyssée,
Ulysse descendait aux Enfers et attirait les âmes des défunts
en leur offrant à laper le sang d'un chevreau noir. Dans
le même ordre d'idée, redoutant le retour sur terre
des âmes de leurs parents descendus au royaume des ombres,
les Romains s'efforçaient de les apaiser par des sacrifices
lors des Lemuralia.
Il est amusant de noter que dans le roman dont Tony Scott tira
son film Les prédateurs (The Hunger, 1980),
avec Catherine Deneuve et David Bowie, Whitley Strieber plaçait
en prologue la crucifixion des compagnons de Spartacus sur la
voie Appienne, en -71 (scène qui, dans le film, est remplacée
par un flash-back de vampirisme en Egypte antique) (5).
Ann Rice nous a également donné un roman vampirique
situé dans la Rome d'Auguste, Pandora (6).
Internet |
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Spartacus
: Blood and Sand (TV) |
Etats-Unis, 2010
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Spartacus : Blood and Sand (1ère
saison)
Prod. : Starz Entertainement LLC / Coul. / Aspect Ratio : 1.78
:1 / Sound Mix : Stereo / 13 ép. ¥ 60'
Fiche technique
Réal. : Rick JACOBSON (1. The Red Serpent; 2. Sacramentum
Gladiatorum; 6. Delicate Things) - Grady HALL (3. Legends)
- Jesse WARN (4. The Thing in the Pit; 7. Great and
Unfortunate Things; 13. Kill Them All) - Michael HURST
(5. Shadow Games; 9. Whore; 12. Revelations)
- Rowan WOODS (8. Mark of the Brotherhood) - Chris MARTIN-JONES
(10. Party Favors) - Glen STANDRING (11. Old Wounds);
Créateur : Steven S. DeKNIGHT; Scén. : Brent FLETCHER
[13 épisodes], Aaron HELBING [13 épisodes], Todd
HELBING [13 épisodes], Miranda KWOK [13 épisodes],
Steven S. DeKNIGHT [4 épisodes], Tracy BELLOMO [3 épisodes],
Andrew CHAMBLISS [3 épisodes], Daniel KNAUF [2 épisodes];
Images : Aaron MORTON [12 épisodes], Series Produced. :
Charles KNIGHT (associate producer/post-production producer [13
épisodes]), Steven S. DeKNIGHT (executive producer [11
épisodes]), Aaron LAM (associate producer [11 épisodes]),
Paul GRINDER (associate producer [10 épisodes]), Grady
HALL (consulting producer [6 épisodes]), Joshua DONEN (executive
producer [2 épisodes]), Sam RAIMI (executive producer [2
épisodes]), Robert G. TAPERT (executive producer [2 épisodes]);
Series Casting : Lauren BASS [1 épisode]; Series Production
Design : Iain AITKEN [12 épisodes]; Series Art Direction
: Ben MILSOM [7 épisodes]; Series Costume Design : Barbara
DARRAGH [12 épisodes]. - Series Makeup Department :
Georgia LOCKHART-ADAMS (make up artist and hair stylist [13 épisodes]),
Deb WATSON (makeup and prosthetics supervisor [13 épisodes]),
Jane O'KANE (makeup and prosthetics designer (12 épisodes]),
Michele BARBER (make-up/hair artist [7 épisodes]). - Series
Production Management : Melanie TURNER (unit production manager
[12 épisodes]). - Series Second Unit Director or Assistant
Director : Bruno DUBOIS (third assistant director [13 épisodes]),
Allan POPPLETON (action director [2 épisodes]). - Series
Art Department : Ed BUTLER (storyboard artist [13 épisodes]),
Nick BASSETT (supervising art director [10 épisodes]),
Robert BAVIN (property master [8 épisodes]), Nick CONNOR
(set designer [5 épisodes]), Melissa SPICER (property master
[4 épisodes]). - Series Sound Department : Corrin
ELLINGFORD (boom operator [13 épisodes]), Vedat KIYICI
(sound editor [10 épisodes]), C.J. WITHEY (sound assistant
[10 épisodes]). - Series Special Effects : Steve
YARDLEY (special effects technician [12 épisodes]). - Series
Visual Effects : Hugh SMITH (visual effects artist [13 épisodes]),
Charlie McCLELLAN (series visual effects supervisor/ executive
visual effects supervisor/ ... [12 épisodes]), Charlie
WILSON (visual effects assistant editor [12 épisodes]),
Billy A. CAMPBELL (vfx consultant editor [10 épisodes]),
Andrew SHANKS (conceptual vfx artist [10 épisodes]), Johnny
AGNEW (visual effects wrangler [8 épisodes]), Gina E. ROSS
(visual effects producer : 3DCGI Ltd/ visual effects producer
: 3DCGI [7 épisodes]), John WALTERS (concept artist/ matte
painter [7 épisodes]), Nick CATTELL (visual effects art
director [6 épisodes]), Young CHOI (visual effects producer
: Mofac studio [5 épisodes]), Mark ROUS (visual effects
wrangler [5 épisodes]), Mark STEPHEN (visual effects set
designer [3 épisodes]). - Series Stunts : Shane
BLAKEY (utility stunts [13 épisodes]), Jacob TOMURI (stunt
performer/ stunt actor [13 épisodes]), Mana Hira DAVIS
(utility stunts [10 épisodes]), Vincent ROXBURGH (stunt
double [10 épisodes]), Andrew B. STEHLIN (utility stunts
[10 épisodes]), Winham HAMMOND (stunt performer [9 épisodes]),
Jeremy HOLLIS (stunt performer [8 épisodes]), Brenna TOWNSHEND
(stunt department coordinator [7 épisodes]), Raicho VASILEV
(stunt performer [7 épisodes]), Hiroo MINAMI (utility stunts
[6 épisodes]), Tim WONG (assistant stunt coordinator/ fight
coordinator/ ... [6 épisodes]), Tim McLACHLAN (stunt performer
[5 épisodes]), Allan POPPLETON (fight coordinator/ stunt
coordinator [5 épisodes]), Steven A. DAVIS (stunt performer
[4 épisodes]), Clinton ELVEY (stunt double [4 épisodes]),
John OSBORNE (stunt performer [4 épisodes]), Steve REINSFIELD
(stunt performer [4 épisodes]), Andrew COTTLE (stunt double
[3 épisodes]), Tony MARSH (stunt performer [3 épisodes]),
Adrian McGAW (stunt performer [3 épisodes]), Steve McQUILLAN
(stunt performer [3 épisodes]), Joshua RANDALL (stunt performer
[3 épisodes]), Daniel ANDREWS (stunt performer [2 épisodes]),
Matt BENNETT (stunt performer [2 épisodes]), Scott CHIPLIN
(stunt performer [2 épisodes]), Augie DAVIS (stunt performer
[2 épisodes]), Karen THOMPSON (stunt double [2 épisodes]).
- Series Camera and Electrical Department : Todd BILTON
(first assistant camera [12 épisodes]), Brenden HOLSTER
(first assistant camera [12 épisodes]), Blair IHAKA (second
assistant camera [12 épisodes]), Christopher RUDKIN (video
split operator [12 épisodes]), Marc EHRENBOLD (steadicam
operator [7 épisodes]), Gareth DALEY (phantom technician
[5 épisodes]). - Series Costume and Wardrobe Department
: Janelle HOPE (costume supervisor [11 épisodes]).
- Series Editorial Department : Matt TATE (senior assistant
editor [13 épisodes]), Margaux PEACH (post-production assistant
[12 épisodes]), Peter WILLIAMS (digital intermediate colorist
[8 épisodes]). - Series Transportation Department :
Scott CHIPLIN (driver : cast [6 épisodes]). - Series
Other crew : Brent FLETCHER (story editor [13 épisodes]),
Aaron HELBING (staff writer [13 épisodes]), Todd HELBING
(staff writer [13 épisodes]), Miranda KWOK (staff writer
[13 épisodes]), Caroline MacVICAR (assistant : Mr. Tapert
[13 épisodes]), Anna RANDALL (assistant production coordinator
[12 épisodes]), Aria HARRISON (script supervisor [6 épisodes]),
Wayne McCORMACK (horse master [2 épisodes]); Musique :
Joseph LoDUCA [12 épisodes].
Fiche artistique
Manu BENNETT (Crixus) - Peter MENSAH (Doctor [Doctore]) - Nick
TARABAY (Ashur) - Viva BIANCA (Ilithyia) - Lesley-Ann BRANDT (Nævia)
- Jai COURTNEY (Varro) - Erin CUMMINGS (Sura) - Andy WHITFIELD
(Spartacus) - John HANNAH (Batiatus) - Lucy LAWLESS (Lucretia)
- Craig PARKER (Glaber) - Eka DARVILLE (Pietros) - Antonio TE
MAIOHO (Barca) - Daniel FEUERRIEGEL (Agron) - Katrina LAW (Mira)
- Kyle PRYOR (Marcus) - Matt GILLANDERS (Marcellus) - Tania NOLAN
(Cæcilia, patricienne) - Ande CUNNINGHAM (Duro) - Raicho
VASILEV (Gnæus) - Craig Walsh WRIGHTSON (Solonius) - Karlos
DRINKWATER (Kerza) - Matthew CHAMBERLAIN (Ovidius) - David AUSTIN
(Medicus) - John BACH (magistrat Calavius) - Janine BURCHETT (Domitia)
- Jon BRAZIER (Ramel) - John WAY (homme de Capoue) - Siaosi FONUA
(Hamilcar) - Tim CRONIN (garde ludus 1) - Matthew SAVILLE
(garde ludus 2).
EU/ |
TV : Starz, 22 janvier 2010 (certification
USA : TV-MA) |
CDN/ |
TV : TMN, 25 janvier 2010 etc. |
NL/ |
TV : RTL 5, mars 2010 ? |
AUS/ |
TV : Seven Network ? |
GB/ |
TV : Bravo, été
2010 ? |
NOTES
Tournage : Studios Mount Wellington (Auckland - New Zealand)
Compagnies productrices [Production Companies]: Starz Media &
Starz Productions. Distributeurs : Starz! Network (2010) (USA)
(TV) & Starz! (2010) (USA) (TV). Autres compagnies : Background
Talent (extras casting) & Cunning Stunts Limited (stunt equipment).
MERCHANDISING/PRODUITS DÉRIVÉS
Spartacus : Blood and Sand - The Game
Step into the arena. Hear the roar of the crowd. And prepare to
fight ! You are Spartacus and this 3D game gives you the
weapons and fury to kill your way to freedom. Whether you customize
your fighting experience or go head-to-head with other players
via Wi-Fi or Bluetooth, the goal is the same ? survive.
Spartacus : Blood and Sand - Motion Comic
Spartacus fights for his life in the arena, but his isn't the
only story worth telling. Based on the comic book series, experience
the Spartacus : Blood and Sand motion comic and bring into
focus the lives of all the gladiators whose job it is to kill
or be killed.
Spartacus : Blood and Sand - Comic Book
Arkadios is a once-proud Greek warrior who now finds himself enslaved
by the Romans. Now he dreams of only one thing : revenge. He'll
cut the head from his captor, even if he has to chop a gory-swath
through an arena full of gladiators just to get there.
{5Syn}Trahi par les Romains qui l'on condamné à
l'esclavage, Spartacus a été arraché à
sa patrie et à la femme qu'il aime pour être confronté
au monde brutal et sanglant de l'amphithéâtre où
des hommes meurent pour divertir le public.
Mais tous les combats ne se dérouleront pas uniquement
sur le sable de l'arène... La trahison, la corruption,
l'attrait des plaisirs sensuels mettront Spartacus à l'épreuve.
Jusqu'à ce qu'il comprenne que pour survivre, il devra
être plus qu'un homme, plus qu'un gladiateur : une légende
! |
Suite… |
NOTES :
(1) Celle qui nous est montrée
était juste assez grande pour contenir une couchette,
et encore n'avait-elle que 60 cm de libre par-dessus. Il fallait
entrer en rampant, et ne pas être claustrophobe. - Retour
texte
(2) Construit sur le Champ de Mars,
à l'endroit où plus tard sera édifié
le théâtre de Marcellus. - Retour
texte
(3) Par exemple : apprenant la mort
de Sertorius en Espagne, survenue en décembre 73, Spartacus
renonce à son projet de l'y rejoindre - et donc de traverser
les Alpes - préférant aller piller la Sicile que
sa nombreuses population servile avait transformée en
véritable poudrière. - Retour
texte
(4) C'est le communiqué de
presse qui parle de la guerre de Spartacus, le Bellum Spartacium,
comme d'une guerre civile, que nous corrigeons bien vite : il
s'est bien évidemment agi d'une guerre servile. Une guerre
civile est un conflit armé entre concitoyens. Ce que
les esclaves, bien entendu, ne sauraient être. Difficile
d'admettre que nous ne sommes pas tous égaux, n'est-ce
pas ? Et pourtant, encore maintenant, les faits de tous les
jours le démontrent... - Retour texte
(5) Whitley STRIEBER, Les prédateurs,
1983, J'ai Lu, nç 1419, 349 p. (trad. Michel Deutsch). - Retour
texte
(6) A. RICE, Pandora (1998),
Plon, 1999; Pocket éd., coll. «Terreur»,
nç 9248 (trad. angl. Frank Straschitz). - Retour
texte
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