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MAI
2006
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- [mai 2006]
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1er mai 2006 |
STEVE
REEVES : FINIS LES TRAVAUX, HERCULE. SIX ANS DÉJÀ... |
Larbi
Bendifallah a écrit : |
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Je
voulais signaler trois choses concernant Steve
Reeves :
1) Aujourd'hui 1er mai 2006
est le sixième anniversaire de sa mort. J'ai
une pensée nostalgique pour Steve.
2) Dans toutes ses filmographies, y compris celle
de SRIS et la vôtre, on omet de mentionner que
Steve Reeves a joué un personnage très
mineur (un soldat indien de l'armée britannique)
dans le film Le Temple de l'Eléphant Blanc,
d'Umberto Lenzi, avec Sean Flynn.
Un détail intéressant : Steve Reeves
apparaît notamment dans le tout dernier plan
du film, et le mot «Fin» s'inscrit sur
sa silhouette. Amusant, non ?
3)Son dernier film (L'évadé de Yuma)
n'est jamais passé à la télé
et n'a jamais été édité
en VHS ou en DVD. Pourquoi ? Problème de droits
?
Bravo pour le site, il faut continuer
à le faire vivre.
Steve Reeves
dans Les Travaux d'Hercule. «Adieu Hercule,
adieu Iole... De vos épreuves passées,
il ne restera en notre mémoire que le souvenir
de votre merveilleuse aventure. (...) Et de tout
l'espoir que chaque homme garde en son cur...» |
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RÉPONSE
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Finis les Travaux, Hercule.
Oui, c'est vrai, il y a six ans, jour de la Fête
du Travail, Steve
Reeves s'éteignait. Merci d'avoir pensé
à lui, et merci pour vos encouragements.
Il me vient une idée, une explication à
la présence fortuite de Steve Reeves en uniforme
britannique dans certains plans du Temple de l'Eléphant
Blanc (Sandok, il Maciste della Giungla) d'Umberto
Lenzi. Steve avait, en 1964, incarné à
deux reprises le héros d'Emilio Salgari, Sandokan,
opposé aux Britanniques, dont il endossait l'uniforme
à l'occasion de quelque ruse de guerre : Sandokan,
le Tigre de Bornéo (Sandokan, la Tigre di Mompracem)
et Les pirates de Malaisie
(1) (I
piratis della Malesia) tous deux du même Umberto
Lenzi, qui dut sans doute en réutiliser quelques
chutes de ces précédents films pour compléter
Le Temple de l'Eléphant Blanc. De la même
manière, on peut «voir» Steve Reeves
dans Hercule
contre
Moloch - qui n'en sera jamais crédité.
Il s'agit cette fois de plans extraits de La
Guerre de Troie, où Steve avait le visage
dissimulé par la visière de son casque;
dans le second film (tous les deux sont signés
Giorgio Ferroni), Gordon Scott/Hercule réendosse
le costume d'Enée/Steve Reeves et joue à
visage découvert. Mais certains plans de bataille,
à grosse figuration, proviennent de La guerre
de Troie. Et voilà le travail ! Steve Reeves
a donc été à son insu la «doublure»
de Gordon Scott...
NOTE :
(1) Les
pirates de Malaisie ont été réédités
en DVD chez René Chateau. Actuellement en toute
bonne solderie, qu'on se le dise. - Retour
texte
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1er mai 2006 |
T'AS
LE BONJOUR DE REG PARK ! |
Philippe-Emmanuel
Krautter (Revue Lexnews) a écrit : |
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Bonjour
et félicitations pour votre très beau
site exhaustif en la matière !
Nous avons eu l'honneur d'interviewer récemment
Reg pour les lecteurs de notre Revue en ligne LexNews.
Peut-être que cette
information pourra
intéresser vos propres lecteurs.
Par ailleurs nous chroniquons
régulièrement l'actualité du DVD
et très souvent nous faisons figurer les
péplums (rarement) produits.
Revue LEXNEWS (on-line)
Philippe-Emmanuel KRAUTTER
38 avenue Pierre et Marie Curie
78230 LE PECQ - FRANCE
Tél : 01 39 76 63 43
Mail : lexnews@free.fr
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RÉPONSE
: |
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Un tout grand merci pour
l'information, que je vais bien entendu relayer dans
le courrier du site. Les informations sur Reg Park ont
toujours été relativement rares (je ne
savais même pas où il était né),
ni même s'il était encore de ce monde.
Pas plus tard que ce matin, un visiteur du site me rappelait
qu'il y a six ans, le 1er mai, Steve Reeves nous quittait.
D'ores et déjà, nos visiteurs compléteront
la fiche Reg Park publiée dans un précédent
courrier. Reg est donc né le 7 juin 1928
dans le Yorkshire, en Angleterre. Il a aujourd'hui 78
ans, garde bon pied bon il et, toujours actif,
«coache» la nouvelle génération
de bodybuilders. Hercule fut une parenthèse
dans sa
vie de champion : homme d'affaires accompli, Reg
Park a pu mettre à profit sa vaste connaissance
de l'univers du fitness en créant de nombreuses
salles de musculation, des marques d'équipements,
ainsi que de nombreuses publications, dont le fameux
Reg Park Journal, qui atteint le chiffre exceptionnel
de 60.000 exemplaires vendus par mois. Reg Park vit
aujourd'hui en Afrique du Sud (confirmé). L'interview
donne quelques détails biographiques sur Reg,
qui fut sergent dans l'armée anglaise à
Singapour et forma les jeunes recrues de l'armée
malaise.
Site de Reg Park : http://www.regpark.net/
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2 mai 2006 |
DIOMÈDE,
LES DEUX AJAX ET PALLAS ATHÉNA SOUS LES MURS DE
TROY |
Jules
a écrit : |
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Très
intéressante cette analyse du film Troie.
J'ai particulièrement apprécié
l'énumération des changements par rapport
à l'Iliade d'Homère.
Pour ma part, je regrette surtout le manque d'interventions
des Dieux dans le film, qui est fondamentale dans l'Iliade.
Particulièrement lorsque les Troyens, aidés
d'Arès, parviennent aux vaisseaux Troyens. Dans
le film ceci se passe naturellement alors que les Grecs
sont bien plus nombreux, pas très logique. Egalement
le manque de nombreux personnages me chagrine, à
savoir Diomède (qui prend une place très
importante dans l'Iliade) et bien d'autres...
Ce film n'en demeure pas moins une grande réussite
tout de même assez proche de l'Iliade
(bien que très compressée).
P.S. : Pourriez vous me renseigner
quand au nom «Pallas Athèné»,
qui apparaît dans l'Iliade. Est-ce Athéna
? Merci d'avance. |
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RÉPONSE
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J'aime
beaucoup, moi aussi, Diomède-au-vaillant-cri-de-guerre,
Diomède-à-la-lance-qui-fait-une-longue-ombre,
le fils de ce Tydée qui - au siège de
Thèbes par les Sept d'Argos -, dévora
le crâne de son adversaire Mélanippe. Diomède
était souvent associé à son compère
Ulysse, notamment dans l'épisode où ils
s'emparèrent des chevaux de Rhésos, roi
des Thraces. Mais son plus bel exploit fut sans doute
d'avoir, de son glaive, blessé la déesse
Aphrodite, descendue sur le champ de bataille pour soustraire
à sa fureur son fils Enée; ensuite d'avoir
blessé le dieu Arès - le dieu de la guerre
en personne - accouru à la rescousse d'Aphrodite
pour qui «il avait des bontés» (comme
disait Philippe Noiret dans je ne sais plus quel film
XVIIe s.). Mais ce genre d'exploits n'est évidemment
pas utilisable dans un film où, d'entrée
de jeu, on a décidé de ne pas faire intervenir
les dieux.
Sacré Diomède ! Une lame, celui-là
! Je crois bien que de toute la mythologie grecque,
il est l'unique mortel à avoir tenu tête
aux dieux, et même à les blesser. Mais
la déesse de l'amour, Aphrodite, se vengera de
lui avec ses armes de femme. Elle suscitera un amant
à son épouse Ægialè, demeurée
à Argos. Et à la fin de la guerre, le
mari trompé manquera d'être assassiné
retour chez lui. Alors le fils de Tydée se réfugiera
en suppliant à l'autel d'Héra, puis rembarquera
et s'exilera dans le sud de l'Italie, chez le roi Daunus.
Diomède est incarné par un certain Marc
Lawrence dans l'Hélène de Troie
de Robert Wise, où il passe assez inaperçu,
et par Paul Morlarty dans telle adaptation BBC de Troïlus
et Cressida de Shakespeare (Jonathan Miller, 1982
?). Il est mieux mis en évidence dans La Guerre
de Troie (Giorgio Ferroni, 1962), où il porte
une armure argentée et une tunique bleue, mais
mes fiches techniques ne me donnent pas le nom de l'acteur
qui l'incarnait : toutefois je ne serais pas étonné
(sous toute réserve, je parle de mémoire
ici) si c'était l'ex doublure de Steve Reeves,
Giovanni Cianfriglia - qui figure bien au casting.
Dans La colère d'Achille - où pourtant
les dieux interviennent - Diomède est carrément
oublié.
Dans La Guerre
de Troie (Ferroni, 1962), le cinéma
rendra-t-il enfin justice au grand héros
du Chant XIII de l'Iliade, le Grand Ajax
(Mimmo Palmara, debout) ici face à Enée
(Steve Reeves) qui semble en mauvaise posture
? |
Toutefois mes préférés
sont les deux Ajax... faveur qui remonte à des
jeux d'enfance. L'impie Petit Ajax, fils d'Oïlée,
a systématiquement été oublié
à l'écran. Quand au fils de Télamon,
Ajax-au-bouclier-haut-comme-une-tour, le Grand Ajax,
interprété par Tyler Mane dans le film
de W. Petersen, il meurt avant son heure, tué
par un Troyen alors qu'en réalité il se
suicida de dépit, faute d'avoir reçu les
armes de son cousin Achille dont il avait arraché
la dépouille à la meute des Troyens (Sophocle).
Dans le film de Wise, Ajax (Maxwell Reed) est une brute
de pugiliste, qui se fait corriger par Pâris;
dans la version de Ferroni, il est incarné par
Mimmo Palmara (mon deuxième couteau préféré)
et se fait rosser puis tuer par Enée-Steve Reeves
dont Palmara était, d'un film à l'autre,
l'éternel antagoniste. Dans La colère
d'Achille de Girolami, Ajax est un simple «sergent»
grec qui ne peut s'opposer à l'invasion du camp
achéen par Hector, et dans Helen
of Troy (2003) de J.K. Harrison il est plus
insignifiant encore sous les traits d'Alex Mizzi - alors
que dans l'Iliade c'est exactement le contraire
qui se passe : ce sont les deux Ajax qui repoussent
victorieusement Hector et les Troyens (Chant XIII),
et c'est le Grand Ajax qui affronte à égalité
Hector, jusqu'à ce que la nuit vienne interrompre
leur duel (Chant VII).
Comme le déclare W. Petersen dans ses interviewes,
ne pas inclure les dieux de l'Olympe dans le film était
un parti-pris délibéré et assumé
(le seul film à faire intervenir les dieux reste
La colère d'Achille). Oui, dans la version
de Petersen, les combats sont très spectaculaires
mais - comme le faisait remarquer Eric
Teyssier dans le courrier
du site -, l'envol d'Achille pour planter sa lame dans
la jugulaire de Boagrios n'était guère
crédible. Dommage aussi que le paysage de Troie
soit à géométrie variable car tourné
partie à Malte, partie au Mexique.
Pallas Athéné est bien la déesse
Athéna. Pendant la guerre des dieux contre les
géants, elle en tua un, nommé Pallas,
l'écorcha et se revêtit de sa peau si ma
mémoire est bonne. D'où l'épithète
«Pallas» accolé à son nom.
Une statue d'elle, le «Palladion», était
tombée du ciel et conservée dans Troie,
qu'elle protégeait.
Diomède (le revoilà)
et Ulysse s'introduisirent dans la ville pour voler
de Palladion, et ainsi ramener dans le camp grec
la faveur de la déesse. Encore une de ces - nombreuses
- péripéties du siège de Troie
jamais mise en scène à l'écran.
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10 mai 2006 |
VA
DIRE À SPARTE... |
Maxime
Rosso a écrit : |
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J'ai
découvert votre site il y a peu de temps, je le
trouve très bien fait. J'ai notamment remarqué
votre intérêt pour Sparte(CLICK
& CLICK),
cité à laquelle vous consacrez tout un dossier.
J'apprécie votre façon de l'aborder : vous
acceptez le mythe tout en ne perdant pas de vue la réalité
historique. Je n'ai pas d'éléments à
vous apporter concernant le cinéma ou la BD, mais,
si cela vous intéresse, vous ou vos visiteurs,
je vous signale que je suis l'auteur d'une thèse
de doctorat en Histoire du droit, sur «La référence
à Sparte dans la pensée politique française
du XVIème siècle à la période
révolutionnaire». C'est une étude
sur l'idéalisation de Sparte qui s'inscrit un peu
dans le sillage du Mirage spartiate de François
Ollier (1)
que vous devez connaître.
Mon ouvrage est publié sous le titre La renaissance
des institutions de Sparte dans la pensée française
(XVIe-XVIIIe siècle) aux Presses Universitaires
d'Aix-Marseille. Il est disponible soit directement sur
commande aux PUAM, 3 av. Robert Schuman 13100 Aix-en-Provence
(04.42.17.29.01), soit à la Librairie Duchemin,
18 rue Soufflot 75005 Paris (01.43.54.79.16. 106233.3534@compuserve.com),
soit à la Librairie de l'Université, 12A
rue Nazareth 13100 Aix-en-Provence (04.42.26.18.08. libruniv@aix-provence.com). |
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RÉPONSE
: |
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Comme vous l'avez fort
bien observé, je suis fasciné par Sparte,
depuis la lecture enfant de Callimaque soldat des
Thermopyles, puis la vision du film de Rudolph Maté
(un des vingt DVD que j'emmenerais sur une île
déserte, avec Zoulou de Cy Endfield).
Vous l'avez compris, l'interprétation idéologique
des grands mythes de l'Antiquité au XIXe s. (et
précédents) figure, dans mon esprit, parmi
les prolégomènes du péplum.
Je saisis l'occasion pour également rappeler
aux visiteurs le petit livre de Claude MOSSÉ,
L'Antiquité dans la Révolution française,
Albin Michel, 1989.
NOTE :
(1) F. OLLIER,
Le mirage spartiate,
t. I. Etude sur l'idéalisation de Sparte
dans l'antiquité grecque de l'origine jusqu'aux
cyniques, De Boccard, 1938, et
t. II Etude sur l'idéalisation de Sparte
dans l'antiquité grecque du début de
l'école cynique jusqu'à la fin de la
cité, Belles Lettres, 1943. - Retour
texte
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10 mai 2006 |
ET
SI ON PARLAIT DE TON CHAR, BEN HUR ? |
Mélanie
Haas a écrit : |
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Je recherche
une notice sur Ben Hur et je suis étonnée
de ne pas la trouver... je dois vraiment m'y prendre très
mal, il faut dire que je n'ai pas l'ADSL et que je suis
néophyte dans la recherche Internet... Pourriez-vous
m'aider ? |
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RÉPONSE
: |
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Certes, je puis probablement
vous aider... Mais quel genre de notice recherchez-vous
? Un résumé de film (1924, 1959) ? ou
du roman ? Des informations sur le roman et son auteur,
le général Lew Wallace ?, ou sur le tournage
du film ? Le spectacle du Grand Cirque de France, dans
les années '60 ? Celui de Robert Hossein au Stade
de France, en septembre de cette année ? Des
informations historiques ? Précisez votre attente,
et je me ferai un plaisir de vous satisfaire...
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Ramon Novarro
incarne Judas Ben Hur dans la version 1925 de
Fred Niblo (M.G.M.). Pour le remake 1959,
la M.G.M. a scrupuleusement reconstitué
à Cinecittà le décor du
cirque de 1925, avec ses colosses accroupis
aux deux extrémités du mur central,
inconnus de l'archéologie romaine
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MÉLANIE
RÉÉCRIT : |
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Je suis
en pleine séquence sur les jeux du cirque avec
mes latinistes et je souhaite aborder maintenant la course
de chars dans l'imaginaire moderne; nous avons donc lu
et commenté divers extraits littéraires
dont un tiré du roman Ben Hur, et je souhaite
bâtir une séance d'analyse filmique de la
fameuse course de chars, c'est pourquoi tout document
concernant cette fameuse séquence m'intéresse,
tout comme ceux qui traitent de près ou de loin
au péplum (et pourquoi pas au roman). J'ai d'ores
et déjà des résumés du film... |
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RÉPONSE
: |
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Je
crois que j'ai ce qu'il vous faut; je ne puis malheureusement
pas vous communiquer l'iconographie de référence.
Vous trouverez en pièce jointe une analyse du
découpage de la course de chars dans la version
1959 de Ben Hur [Patience, chers visiteurs : on mettra
ça en ligne un de ces quatre, mais Rome ne s'est
pas (re)construite en un jour]. J'ai publié
ce texte dans différents dossiers pédagogiques
plus ou moins confidentiels (Ben Hur, Les Grignoux
(Liège) et Jérusalem contre Rome,
ARELAP (Paris)). La dernière version dans les
actes de colloque Cirques et courses de chars (Rome-Byzance),
Musée archéologique de Lattes (Montpellier),
Editions Imago, 1990. (Il est possible que, depuis 1990,
le texte contenu dans le fichier que je vous envoie
ait bénéficié de quelques retakes.)
Vous devriez essayer de consulter cet ouvrage en bibliothèque,
pour enrichir votre travail avec les élèves.
L'édition
collector 4 disques de Ben Hur (2005),
contenant les version 1925 et 1959 et de nombreux
«cadeaux Bonux» dont The Epic that
Changed Cinema (2005), The Making of an
Epic (1994) et A Journey Through Picture
etc. |
A tout hasard, je me permets de vous signaler (ce n'est
pas dans mon article) la «course de chars»
de Star Wars I : The Phantom Menace, clin d'il
et hommage revendiqués à celle de Ben
Hur 1959, ainsi que la nouvelle édition DVD
collector de Ben Hur, contenant les versions
1959 et 1925 (4 disques).
Ben Hur, le spectacle «plus grand que
la légende»
Enfin, je rappellerai le spectacle de Robert Hossein,
dans quelques mois au Stade de France, à Paris
(vendredi 22 à 20h30', samedi 23, vendredi
29 et samedi 30 septembre 2006). Imaginé
par Robert HOSSEIN et écrit par Alain DECAUX,
Ben Hur promet un spectacle époustouflant
et colossal, à la démesure du Stade de
France.
L'histoire
L'histoire se déroule pour la première
fois dans un cadre égal en superficie à
ceux de l'Antiquité. Elle réunit plus
de cents acteurs et figurants et évoque la
haine inexpiable qui oppose le Juif Judas Ben Hur
au tribun romain Messala.
On assistera à des scènes d'une
ampleur jamais vue, comme l'arrivée de l'armée
romaine à Jérusalem. Le passage par
Nazareth des prisonniers envoyés par Messala
aux galères, dont Ben Hur à qui Jésus,
adolescent, donne à boire. La galère
dans laquelle rame Ben Hur et la bataille à
son bord. Les jeux organisés au Colisée
de Rome par Tibère et le gigantesque combat
de gladiateurs qui s'ensuit.
A Jérusalem, où prêche Jésus,
le retour de Ben Hur et la vengeance qu'il nourrit
depuis des années : il affronte Messala dans
la prodigieuse course de chars qui s'organise. Reconstituée
fidèlement à l'aide de sept chars tirés
chacun par quatre chevaux, l'un conduit par Ben Hur,
un autre par Messala, cette course inégalée
à ce jour s'achève par la victoire de
Ben Hur.
La dernière scène : Ben Hur, entouré
de sa mère et de sa sur devenues lépreuses
en prison, assiste au passage de Jésus portant
sa croix; il lui donne à boire et les deux
femmes sont miraculeusement guéries. Ils suivent
Jésus jusqu'au lieu de sa crucifixion.
Renseignements
STADE DE FRANCE
Consortium Stade de France - 93216 SAINT DENIS LA
PLAINE Cedex
Métro : Saint Denis-Porte de Paris
RER : Stade de France - Saint-Denis
tél. renseignements : 0892 700 900 (0,34 EUR/min)
tél. réservations : 0892 700 900 (0,34
EUR/min)
e-mail : visites@stadefrance.com
site Internet : http://www.stadefrance.com
Accessibilité aux personnes à mobilité
réduite
Label tourisme & handicap
Contact/Renseignements pour la Belgique :
(0475) 56 40 64
(010) 81 61 41
(081) 62 50 60
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